La pomme de terre ne fait pas grossir !

La pomme de terre est le premier légume consommé par les français. Elle constitue selon les ANC (Apport Nutritionnel Conseillés), 45 à 50% de la ration énergétique.

C’est un glucide complexe, qui de part sa composition, est à la fois légume et féculent. Sa forte teneur en glucide,  lui permet d’apporter de l’énergie à l’ensemble du corps. Contrairement aux idées reçues, et à condition d’être bien cuisinée (à l’eau ou à la vapeur), la pomme de terre ne fait pas grossir. En effet, de part sa forte teneur en glucides, elle présente un avantage en terme de satiété.

En conséquence, quelque soit le régime, elle est essentielle pour tous dans tout régime alimentaire.  

Le lait ne fait pas grossir

Une enquête réalisée par le CSA 2010 portant sur 983 consommateurs, relate que 83% d’entre eux estiment à 25% la teneur en matière grasse du lait ½ écrémé. Hors, contrairement aux idées reçues, le lait contient beaucoup moins de matières grasses qu’on ne le pense. En effet, il apporte déjà 90% d’eau, et lorsqu’il est entier, il ne contient que 3,5% de matières grasses, 1,6% quand il est demi-écrémé et 0,3% quand il est écrémé. Le lait n’est donc pas gras en soit.

Le lait contient plusieurs vitamines et minéraux, dont le calcium et la vitamine D, qui sont essentiels au maintien de la santé osseuse. Le calcium laitier, pourrait aussi jouer un rôle dans la prévention de diverses maladies telles que les maladies cardiovasculaires, l’hypertension, et l’obésité. En effet, les protéines qui le constituent ont un effet de satiété, le calcium et les nutriments permettent quant à eux, de réguler le métabolisme lipidique et interviennent dans le contrôle de l’adiposité. Le lait permet donc d’une part, de fournir un apport suffisant en calcium à l’ensemble du corps, et d’autre part, il semblerait donc aider à maintenir ou perdre son poids. En effet, il accentuerait même  la perte de poids chez les personnes en surpoids faisant un régime. Les composés bioactifs présents dans le lait auraient également quant à eux des effets sur la santé. C’est le cas de la lactoferrine, une protéine qui joue un rôle dans la lutte contre les infections. Elle protégerait aussi contre certains types de cancers.

Le Plan national nutrition santé (PNNS), élaboré par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), recommande d’en consommer 3 à 4 par jour pour s’assurer un apport suffisant en calcium (1g).

Le Centre de Recherche et d’Information Nutritionnelles (CERIN), certifie donc que le lait permet d’apporter des bienfaits à tout âge de la vie.

 

Le beurre cuit finalement, pas si méchant !!

De récentes études : INCA2( Etude individuelle Nationale sur les Consommations Alimentaires 2006-2007) ont montrés que le beurre cuit, consommé en quantité normale (20g par jour maximum), n’était pas dangereux pour la santé. En effet le beurre chauffé, dans des conditions normales d’utilisation, dégage des molécules mais qui ne sont pas considéré à risque pour la santé.

La rosacée chez l’homme

Définition :

La rosacée, est une inflammation de la peau qui touche 2 à 3% des adultes entre 40 et 60ans. On la retrouve plus fréquemment chez la femme, mais elle est beaucoup plus sévère chez l’homme pouvant conduire à une déformation et un épaississement du nez.

Présente sous  forme de rougeurs cutanées, de couperose, et parfois associée à des pustules,  la rosacée peut être source de handicap.

Traitement :

Pour obtenir des résultats efficaces sur le long terme, avec une atténuation de 60 à 80%, il est nécessaire de traiter les rougeurs avec un laser vasculaire.  Deux à six séances peuvent suffire.  Un traitement précoce, dès les premiers symptômes, peut empêcher une déformation du nez. Dans le cas ou le rhinophyma (déformation et épaississement du nez), est installée, un traitement par le laser CO2 est proposé.

Par ailleurs, pour réduire les poussées et traiter l’acné, on propose un traitement local (métronidazole) et médicamenteux (tétracycline pendant 6 à 12 semaines).

Pour un confort au quotidien, il est bon de savoir qu’il existe une gamme de cosmétique de couleur verte permettant d’atténuer les rougeurs.

La correction d’un lobe d’oreille

La chirurgie esthétique des oreilles ne regroupe pas seulement la correction des oreilles décollées, mais aussi la correction d’un lobe d’oreille. Aussi vos lobes d’oreilles peuvent vous gêner puisqu’ils sont très grands ou parce qu’ils sont déformés. Un lobe d’oreille peut être déchiré suite à un accident avec une boucle d’oreille.

La correction d’un lobe d’oreille se déroule sous anesthésie locale. Vous pouvez retourner à la maison immédiatement après l’intervention. Il ne faut pas porter de pansement suite à une correction d’un lobe d’oreille, comme il est le cas après une otoplastie.

Quelques mois après l’intervention vous pouvez vous refaire percer les oreilles

La carboxythérapie et les LED

Au départ le vieillissement du décolleté est lié aux facteurs individuels et héréditaires de chacun (les facteurs intrinsèques), il se traduit sur le décolleté par une déshydratation, une dépigmentation, un amincissement du derme. Cet amincissement exclut la couche dermique externe généralement épaissit par l’accumulation de cellules mortes.

Face à cela il faut ajouter les facteurs extrinsèques pouvant accélérer la sénescence des cellules. Le décolleté est soumis à différents facteurs extrinsèques favorisant au cours des années son vieillissement :

le tabac, l’alcool peuvent modifier la sénescence des cellules, en les rendant plus fragiles et entrainant des difficultés de prolifération.

le stress augmentant la production des radicaux libres, et entrainant une diminution de production de kératinocytes et fibroblastes servant à synthétiser les fibroblastes et l’élastine (cellules composant le derme).

la pollution entrainant une baisse des défenses immunitaires, une baisse de l’hydratation et donc de la desquamation du derme.

Néanmoins ce sont les expositions solaires répétées et cumulées d’années en années qui sont les plus délétères pour le décolleté.

Les ultraviolets responsables de l’élastose

 Les ultraviolets  vont fragiliser l’ADN (risque de mutation et donc de cancer) des cellules de la peau les kératinocytes, ainsi que des dégâts oxydatifs lié aux radicaux libres pouvant entrainer une dégradation précoce des cellules du derme. On va ainsi assister à une diminution de la qualité de la peau  qui apparaîtra plus fine, moins élastique et donc moins résistante : c’est l’élastose.

Malheureusement pour nous les signes du photoviellissement dû aux expositions solaires sont très présents au niveau du décolleté. En effet les premiers beaux jours arrivant les petits hauts sortent et les patientes oublient fréquemment de protéger cette zone. On assiste un peu plus tard à des décolletés présentant des taches brunâtres : les lentigos solaires (communément appelé par vos patientes taches de vieillesse) ou des taches rouges, grises et rugueuses : les kératoses actiniques (pouvant évoluer vers des carcinomes). On a très fréquemment une érythrose interfolliculaire, c’est à dire une peau rougie par l’augmentation des capillaires visibles dû à l’amincissement de la peau.

Néanmoins le signe le plus présent reste les rides, ces rides sont perpendiculaires à la direction de contraction du muscle, entrainant un plissement quasi permanent. Ce sont généralement ces rides qui amènent à consulter les patientes.

Nous leur proposons donc pour ce motif, de traiter les rides par carboxythérapie.

La carboxythérapie a été initiée à Royat en 1932 pour les pathologies artérielles et veineuses  et s’est très rapidement et largement répandue en Europe et jusqu’en Amérique du sud dans une visée esthétique.

C’est Cesare BRANDI et le Pr Carlo D’ANIELLO au sein de l’Unité de chirurgie plastique de l’Université de Sienne qui entament des travaux de recherche. Ils montrent que l’histologie de la peau avant et après l’administration de dioxyde de carbone entraine un épaississement du derme ainsi qu’une réorganisation et un nouvel alignement des faisceaux de collagène, parallèle à la peau.

De plus l’étude histologique du tissu graisseux rend compte d’un effet lipoclasique, avec rupture de membranes des adipocytes, et respect des structures nerveuses, conjonctives et vasculaires. Enfin, ils ont d’autre part procédé à des mesures élastométriques de la peau, qui objectivent, avant et après l’administration de CO2, une augmentation moyenne de l’élasticité de la peau de 55,5% (Cutometer SEM 474Courage-Khazaka)

Fort de cela nous avons proposé à nos patientes présentant un relâchement cutanée du décolleté huit  séances de carboxythérapie, espacée d’une semaine chacune.

Le principe de la carboxythérapie est de créer une hypercapnie. Le dioxyde de carbone va réagir avec l’eau plasmatique pour former de l’acide carbonique : CO2+H2O=H2CO3. C’est cette hypercapnie qui va engendrer l’oxygénation des tissus via l’effet Bohr. C’est-à-dire que plus il y aura de CO2 dans le sang plus on aura une augmentation de la pression d’oxygène par rapport au pourcentage de la saturation d’hémoglobine couplé à l’oxygène.

Le gaz carbonique en excès, va se dissoudre au contact de l’eau, en produisant de l’acide carbonique, qui est très labile et va lui-même se fractionner en ion bicarbonate -, et en ion H+ Cela va entrainer une libération des ions bicarbonates dans le plasma sanguin : H2CO3 =HCO3- + H+.

L’excès d’ions H+ entraîne bien évidemment une acidification du milieu. Bohr et Coll ont prouvé que dans ces conditions, il y a diminution de l’affinité de l’hémoglobine pour l’oxygène, avec pour conséquence une libération accrue d’oxygène dans les tissus concernés.

Cette réaction d’acidose va entrainer part une  diminution du Ph sanguin, une hyperoxygénation des tissus et ainsi une augmentation de la microcirculation sanguine (flux sanguin capillaire) par vasodilatation. Cela va donc améliorer l’oxygénation des tissus. D’autre part elle va entrainer une libération des facteurs de croissance, tel que des facteurs de croissance d’angiogénèse. Ces derniers encourageant ainsi  la lipolyse ou régénération du derme.

De plus une étude sur les rats a été réalisé et a montré : une nette amélioration de l’épaisseur du derme, des fibres de collagènes mieux réparties et plus homogène, et une stimulation de la synthèse  de ces fibres collagènes. Montrant ainsi que la carboxythérapie peut être utilisé autant pour augmenter la teneur et l’organisation en collagène des tissus de la peau  que pour en augmenter sa texture et son apparence.

D’où son indication en médecine esthétique dans  le relâchement cutané du visage, du cou, du décolleté et des vergetures.

La carboxythérapie peut donc être utilisé pour une réjuvenation de la peau du décolleté en diminuant les rides et le plissement de peau (fripouillis), ainsi que pour en améliorer son relâchement cutanée. Le protocole consiste en huit séances de carboxythérapie, espacées d’une semaine d’intervalle chacune.

La carboxythérapie a recours au gaz carbonique stérile utilisé pour coelioscopie. Elle est à différencier de la carbothérapie qui utilise un gaz thermal.

Chaque séance consiste à injecter  du dioxyde de carbone en sous-cutanée à l’aide de fines aiguilles 30G avec débit de 80cc à la minute. L’administration du gaz est superficielle. On paramètre : le flux, le temps, et le programme On utilise des tubulures à usage unique, cône luerlock et aiguilles 0,3×13 – 30G. On prend soin de désinfecter soigneusement la zone. Pour la première ou les deux premières séances, on part d’un flux plus faible que le flux de référence, et on l’augmente progressivement pour habituer les tissus à la distension liée au volume gazeux. On pique à une profondeur de 1 à 3 mm, aiguille 30G, inclinée de 30°par rapport à la peau. Un flux rapide facilite le décollement des tissus. Un flux lent est adapté à des zones peu étendues ou fragiles, ou sensibles.

On obtient : une augmentation du débit de l’état microcirculatoire. Un effet de lissage en surface, en décollant superficiellement les tissus, ceci pour arriver progressivement à un effet d’assouplissement et de « redrapage » du derme, une stimulation du fibroblaste avec augmentation de la production de collagène.

 Les contre-indications sont faibles infections phlébites, infarctus, AVC, hypertension artérielle sévère, épilepsie parfois notée pour certains auteurs, grossesse. Il n’y a pas de risques d’intoxication au CO2.

Du nouveau dans le traitement du psoriasis

Qu’est ce que le psoriasis ?

Le psoriasis est une dermatose, qui se caractérise par des plaques érythémato-squameuses souvent pruriginineuses. Cette pathologie chronique, n’est pas grave en soi, mais elle peut fortement retentir sur la qualité de vie des patients.

Traitement :

Le traitement qui vous sera proposé dépendra essentiellement de la zone cutanée atteinte. Il n’existe aucuns traitements curatifs contre le psoriasis. Par conséquent, celui-ci,  repose sur une application locale et quotidienne de différentes topiques, qui peut être associé à des traitements systémiques lourds (puvathérapie).

Les traitements étant lourds et parfois peu efficaces contenu du caractère chronique de cette pathologie, les patients se tournent vers d’autres alternatives d’origine naturelles. Parmi celles-ci, l’ichtiothérapie, est en pleine essor depuis quelques années.

– L’ichtiothérapie :

Cette nouvelle thérapie, découverte dans la ville de Kangal, en Turquie, est utilisée contre le psoriasis. Elle fait son apparition en France en 2010, mais elle n’est encore utilisée que dans un but de relaxation et pédicurie.

Cette technique réunit les bienfaits de l’eau thermale associée à deux espèces de poissons de la famille des cyprinidés.

Le principe repose, sous deux conditions nécessaires :

– L’eau de la source doit être à des températures comprises entre 35 et 37 . A cette température, la nourriture se fait rare, ainsi elle contribue à pousser les poissons à se tourner sur la peau lésée.

– Deux poissons de la même famille, mais d’espèce différente, travaille en synergie. Ils ont chacun un rôle prédéfinit. L’un, appelé « stricker » aura pour mission de manger la peau lésée, et l’autre le « licker », assurera la cicatrisation grâce à sa salive. C’est surtout ce dernier, appelé Gara rufa obtusa, qui agit sur le psoriasis. Les deux poissons ne sont intéressés que par la peau lésée et conserve donc la peau saine.

A  ce jour, aucunes complications n’ont été constatées. Néanmoins, il apparaît primordial de respecter les mesures d’hygiène établies par les protocoles sanitaires pour éviter tout risque d’infection ou de contamination. 

La cellulite

Grand malheur de ces dames, fines ou en surcharge pondérale la cellulite est une infiltration des tissus sous-cutanés par la graisse dû à un déséquilibre entre le stockage et déstockage de cette dernière, une mauvaise micro circulation et souvent accompagné de rétention d’eau

Comment prévenir la cellulite ?

Les exercices physiques agissent conte la cellulite tant que ce sont de petites dépenses assez soutenues, et surtout qui durent longtemps, pour que l’organisme ait le temps de puiser dans les graisses. Car l’important, c’est l’endurance avant tout. Ainsi le footing, l’aérobic, la corde à sauter, le vélo, le step sont très efficaces, car ce sont des efforts assez soutenus.

De plus l’effort va entraîner une augmentation du flux sanguin dans l’organisme, ce qui va améliorer la micro-circulation.  L’idéal étant de faire du sport trois à quatre fois par semaine…

Les massages activent les échanges cellulaires et aident à améliorer de la circulation. Ainsi le drainage qui en résulte va  casser les cellules adipeuses et les éliminer. Mais attention pour être efficace, un massage doit durer 35 minutes… et tous les jours ! Il faut s’entretenir tout le temps, et ne pas arrêter, sinon la cellulite revient…On peut aussi faire des drainages lymphatiques si vous en avez la possibilité.

Une bonne hygiène alimentaire, c’est-à-dire manger de tout pour éviter les carences, en quantité raisonnable. C’est s’autoriser un gâteau ou un chocolat de temps à autre. Ne pas se resservir. Ne pas sauter de repas. Eviter de manger trop lourd et sucré le soir car c’est la nuit que nous avons des pics de sécrétion des hormones de stockage des sucres et graisses. Essayer d’aller voir un diététicien afin de faire le calcul de l’apport calorique nécessaire en fonction de ses dépenses caloriques pour ne pas grossir petit à petit.

 

 

 

Les vergetures

Complexe des jeunes filles à l’adolescence ou des mères après une grossesse, les vergetures entraînent régulièrement un sentiment de mal être peau flétrie, une éviction des plages.

La vergeture est une cassure des fibres collagène et élastine qui constitue l’élasticité de la peau. Elle correspond en quelques sortent à une cicatrice profonde de la peau. Les vergetures peuvent être dues à un problème de poids, comme à une inondation hormonale (puberté, grossesse ou stress). Ainsi, certaines femmes maigres ont aussi des vergetures. Lorsque les vergetures apparaissent loin de la puberté ou de la grossesse, il s’agit généralement d’un signal de stress important. Cela peut être dû à un stress psychologique mais également à un sport pratiqué à outrance, tous deux stimulants la production de cortisol. Le cortisol est l’hormone dite du stress, car son taux augmente fortement sous l’effet d’une situation de stress. Or le cortisol est une des hormones impliquées dans la formation des vergetures.

 Comment prévenir les vergetures ?

Le geste numéro un est le massage ! Se masser régulièrement permet d’activer la circulation du sang, d’améliorer l’oxygénation des cellules de la peau et évitant leur dégénérescence.

Au quotidien ne manquez pas de bien hydrater votre peau, ce qui permettra de conserver l’élasticité de votre peau et ainsi d’éviter les vergetures. Privilégiez les crèmes riches en silicium, en collagène ou en huiles essentielles. Meilleurs hydratant et activateur du collagène. Boire beaucoup d’eau permet d’éviter une déshydratation.

Eviter une prise de poids rapide et excessive.

Comment atténuer les vergetures ?

Une fois que les vergetures se sont installées et qu’elles virent au blanc nacré, la meilleure des solutions est d’utiliser des crèmes à base de vitamine A qui sont utilisées dans le traitement de l’acné. Le traitement est efficace sur les vergetures de faible largeur mais il est contraignant puisqu’il doit être poursuivi pendant un an.

Attention : ce type de produit est incompatible avec la grossesse et l’allaitement !

Couperose

Affection courante chez l’adulte, la couperose entraîne néanmoins souvent un sentiment de honte par des propos désobligeants (il a le nez rouge ! il doit avoir une bonne descente…). La couperose encore appelé la rosacée est définit par des rougeurs au niveau des joues, du nez et parfois au niveau du menton, et accompagnées de petits vaisseaux sanguins visibles.

Comment prévenir la couperose ?

Il n’existe pas de traitement préventif à proprement parlé, mais une bonne hygiène de vie et quelques gestes simples au quotidien permettront de limiter l’apparition de la couperose. Il est préférable d’éviter les facteurs déclenchant les rougeurs comme les expositions au soleil, les atmosphères trop chaudes (pièces surchauffées, bains, saunas…), les écarts de température, l’alcool, les plats épicés...

Choisir des produits cosmétiques doux permet aussi de respecter les peaux sensibles : préférer les actifs apaisants et décongestionnants, ou des produits à base de ginko biloba ou de vigne rouge qui diminuent la vasodilatation. Eviter les gestes agressifs et les démaquillages « récurages », et penser aux indices de protection solaire, sont autant de petits plus en faveur des peaux réactives.

Afin d’éviter les effets des intempéries, des crèmes barrières (une protection mécanique) sont à appliquer au vent et au froid. A la chaleur, des brumisateurs d’eau vont refroidir la peau et diminuer la vasodilatation. Au soleil on peut maintenant appliquer des écrans qui contiennent des vasoconstricteurs : des deux en un !